Hongrie fascisme/déportation : « Parce que c’est toujours comme ça que cela commence »
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Hongrie fascisme/déportation : « Parce que c’est toujours comme ça que cela commence » par la haine raciale et la négation de la justice sociale et de la démocratie. Des amiEs d’Hongrie conjuguent Mémoire et éducation populaire. |
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Source : Notre correspondant à Budapest
La seule critique que j’ai de cette vidéo c’est que les images sont prises de documentaires allemands et non hongrois. Nous en avons aussi, et actuellement nous avons bien besoin de les montrer.
Une autre version de cette même chanson, mise en scène par un ancien cinéaste, Ferenc Grünwalsky, il fait partie de ma génération (nous avons fait beaucoup de choses ensemble quand nous étions jeunes en 1972-1973). Je ne connais pas le chanteur.
Gerendás Péter - Bródy János : Százéves pályaudvar (rendezte : Grünwalsky Ferenc)
Voici le texte intégral :
"Il y a des temps où il faut partir
Quand le signe apparait sur les murs de la maison,
Il n’était plus vraiment jeune,
Et maintenant il se sentait mourir de cela,
Quand il se trouvait debout à côté des rails
Dans cette gare qui avait cent ans
La haine défilait dans les rues
Et le passé brulait l’horizon
Et il savait bien que maintenant il fallait déjà partir
Parce que c’est toujours comme ça que cela commence
Et il se trouvait debout à côté des rails
Dans cette gare qui avait cent ans.
Refr.
Je dis adieu, je dis adieu,
Sur cette terre je ne suis plus chez moi,
Je dis adieu, je dis adieu,
Mais je laisse mon cœur ici pour toujours.
Mais je laisse mon cœur ici pour toujours.
Une autre version d’une grande dame de la chanson en Hongrie.
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