Deux nouvelles de la Hongrie : une sympathique et l’autre dangereuse les néo-nazis hongrois et européens manifestent ce samedi 11 février 2012 15h30 à Budapest.
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Deux nouvelles de la Hongrie : une sympathique et l’autre dangereuse les néo-nazis hongrois et européens manifestent ce samedi 11 février 2012 15h30 à Budapest.
Une sympathique
"il y aura encore une République"
Aujourd’hui (10-02-12)nous avons fêté le 90ème anniversaire d’Árpád GÖNCZ, le premier Président de la 3ème République Hongroise (1990-1998). Il est toujours le politicien le plus populaire de ces vingtaines d’années. Les participants d’une table ronde organisée par l’Institut Républicon sur les temps du changement 1989-1990 ont affirmé que Árpád* que sa popularité grâce au fait qu’il a toujours gardé sa simplicité civile, il ne s’est pas transformé en "politicien".
Parallèlement, une conférence scientifique s’est déroulée à l’Université de l’Europe Centrale et les participants ont offert des analyses sur la période du changement et du rôle d’Árpád GÖNCZ.
Malheureusement, il est trop faible pour participer aux conférences, mais il a salué les participants par vidéo.
*l’ambiance de cet événement était plutôt familiale, la plupart des participants ayant une relation proche avec le Président.
Szerenád a 90 éves Göncz Árpádnak
Un groupe d’ami a salué Árpád GÖNCZ avec le choeur de Nabucco paraphrasé par Péter FÁBRI, l’écrivain : "il y aura encore une République" chantaient les amis.
l’autre dangereuse les néo-nazis hongrois et européen manifestent ce samedi 11 février 2012 15h30 à Budapest.
Les organisations néo-nazies hongroises ont demandé un rassemblement commémoratif à la police pour samedi, 15 heures 30 à Budapest. Dans leur calendrier, c’est le jour "du Sang et de l’Honneur", l’anniversaire du jour auquel les troupes allemandes et hongroises ont été encerclées à Budapest par l’Armée soviétique (1945). L’organisation initiatrice de cette tradition nazie a été déjà prohibée, mais leurs membres se réorganisent toujours sous différents noms. Pour cet événement ils attendent des fascistes de l’étranger aussi. Le lieu n’est pas encore publié cette fois, même leurs militants ne recevront de consigne qu’au dernier moment par internet.
Notre Correspondant à Budapest.
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