Hongrie fascisme/déportation : « Parce que c’est toujours comme ça que cela commence »

samedi 26 avril 2014
par  onvaulxmieuxqueca
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Hongrie fascisme/déportation : « Parce que c’est toujours comme ça que cela commence » par la haine raciale et la négation de la justice sociale et de la démocratie. Des amiEs d’Hongrie conjuguent Mémoire et éducation populaire.

Source : Notre correspondant à Budapest

La seule critique que j’ai de cette vidéo c’est que les images sont prises de documentaires allemands et non hongrois. Nous en avons aussi, et actuellement nous avons bien besoin de les montrer.

Une autre version de cette même chanson, mise en scène par un ancien cinéaste, Ferenc Grünwalsky, il fait partie de ma génération (nous avons fait beaucoup de choses ensemble quand nous étions jeunes en 1972-1973). Je ne connais pas le chanteur.

Gerendás Péter - Bródy János : Százéves pályaudvar (rendezte : Grünwalsky Ferenc)

Voici le texte intégral :

"Il y a des temps où il faut partir

Quand le signe apparait sur les murs de la maison,

Il n’était plus vraiment jeune,

Et maintenant il se sentait mourir de cela,

Quand il se trouvait debout à côté des rails

Dans cette gare qui avait cent ans

La haine défilait dans les rues

Et le passé brulait l’horizon

Et il savait bien que maintenant il fallait déjà partir

Parce que c’est toujours comme ça que cela commence

Et il se trouvait debout à côté des rails

Dans cette gare qui avait cent ans.

Refr.

Je dis adieu, je dis adieu,

Sur cette terre je ne suis plus chez moi,

Je dis adieu, je dis adieu,

Mais je laisse mon cœur ici pour toujours.

Mais je laisse mon cœur ici pour toujours.


Une autre version d’une grande dame de la chanson en Hongrie.


Hongrie : János Bródy, Zsuzsa Koncz, liberté et espoir un long chemin.

http://onvaulxmieuxqueca.ouvaton.org/spip.php?article1228


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