HONGRIE : Les écoles professionnelles qui forment les ouvriers font partie du mouvement, bien que minoritaires
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Source : Mércé.hu
Les écoles professionnelles qui forment les ouvriers font partie du mouvement, bien que minoritaires
Tibor Csaba Toth
27 octobre 2022
L’un des détails intéressants de la vague de contestation de l’instruction publique qui a débuté en octobre est que par rapport aux actions précédentes, les lycées professionnels (anciens lycées professionnels) et les lycées professionnels (anciens lycées de formation professionnelle) sont représentés en bien plus grand nombre. La réforme des écoles professionnelles entamée en 2016, qui a placé bon nombre de ces établissements sous les centres de formation professionnelle centraux et partiellement unifiés sous la tutelle du ministère de l’Économie, n’a pas répondu aux attentes.
Bien que l’intention était de les séparer des lycées de l’enseignement public secondaire, les protestations montrent que maintenant les enseignants, les étudiants et les travailleurs d’ici en ont assez de la situation actuelle.
Par exemple, le fait que les enseignants de matières pratiques particulièrement importantes dans les écoles professionnelles aient voulu être directement soumis au champ d’application de la loi sur l’esclavage en 2019 * aurait pu donner une grande impulsion à cela .
Beaucoup de tâches supplémentaires pour les enseignants ici ont ensuite été reclassées dans la section du temps de travail non obligatoire (pour laquelle il n’y a pas de rémunération des heures supplémentaires), et il était également prévu que le remplacement de l’enseignant absent serait considéré comme "des heures supplémentaires volontairement effectuées ".
Même si cela n’a été que partiellement réalisé, cette situation était plutôt caractérisée par le manque d’enseignants et le surmenage.
Lors des manifestations scolaires, cependant, le nombre de signataires et de participants des écoles professionnelles diffère sensiblement dans la capitale et, par exemple, à Szeged.
Dans ce dernier lieu, ils ont également signé une lettre protestant contre le licenciement des enseignants de Kölcseys et l’envoi de lettres "disciplinaires" le 14 octobre, qui a également organisé une grande manifestation le 20 octobre.
Sur la base de l’ affectation de la carte de la chaîne en direct du 27 octobre (il y a 157 écoles élémentaires, lycées et écoles professionnelles répertoriées ici dans toutes les images), 15 d’entre elles étaient des lycées et des lycées professionnels, soit environ 9,5 %. Nous ne connaissons pas le nombre d’employés dans les données de Budapest.
D’autre part, les participants ont également joint une lettre à la manifestation de Szeged ( nous l’avons également publiée ), qui montre qu’elle a été signée par un total de 800 travailleurs et enseignants. Parmi ceux-ci, 211 (30%) dans les lycées professionnels, lycées professionnels et écoles techniques ont signé leur signature, tandis qu’au niveau institutionnel, 25% de toutes les écoles protestataires en ont été expulsées.
Bien qu’il s’agisse d’une nette minorité par rapport au nombre de lycées qui forment généralement aux carrières intellectuelles et d’écoles primaires qui assurent encore la mixité, force est de constater que les enseignants et les élèves des écoles professionnelles font également partie intégrante de la contestation.
Note su site OVMQC
*2ème casse du code du travail, particulièrement sur les heures supplémentaires...en gros payer 3 ans après si l’entreprise est toujours là, et si l’entreprise n’a pas volontairement baisé l’horaire hebdomadaire -flexibilité-
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