Hongrie : Environ un enseignant sur dix s’est mis en grève aujourd’hui, jeudi 16 mars 2023. Vendredi la grève continue
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Traduction internet
Source : Mércé.hu
Environ un enseignant sur dix s’est mis en grève aujourd’hui
Árpad Kocsis
Jeudi 16 mars 2023
Environ 10 pour cent des enseignants ont participé à la grève d’aujourd’hui, a appris Mérce .
La grève des enseignants annoncée pour jeudi et vendredi a été rejointe cette fois par ceux qui travaillent dans la formation professionnelle.
La prochaine grève nationale des enseignants aura lieu jeudi et vendredi . L’événement, qui remplace la grève continue qui dure depuis des mois, a été annoncé par le Syndicat démocratique des enseignants (PDSZ) et le Syndicat des enseignants (PSZ) pour ceux qui travaillent dans l’enseignement public et la formation professionnelle car, à leur avis, le gouvernement n’a répondu à aucune de leurs demandes .
Tamás Totyik, le vice-président du PSZ, a déclaré à Mércé qu’environ 10 % des enseignants ont participé à la grève, mais ils ne seront pas en mesure de fournir des données plus précises avant le milieu de la semaine prochaine.
Totyik a également indiqué que le PSZ avait appris que la faculté avait été convoquée dans une école en raison de la grève. Selon lui, la "contrainte de se conformer" du directeur a peut-être joué un rôle dans cette affaire, plutôt que le district scolaire punissant l’école participant à la grève dans cette affaire.
Dans le même temps, le vice-président s’attendait à une participation un peu plus importante, ce qui serait justifié, puisque les représentants d’intérêts discutent aujourd’hui et demain avec les représentants du gouvernement de l’augmentation de salaire des enseignants, ainsi que de la nouvelle loi sur le statut à venir. .
Les syndicats ont déjà indiqué que la grève de deux jours sera différente d’une institution à l’autre et d’une personne à l’autre : il y a des endroits où ils ne travaillent pas toute la journée, et il y a des endroits où ils ne travaillent pas pendant trois ou quatre heures ou juste une heure.
Cette fois, les enseignants ont exprimé les mêmes revendications que celles formulées par le comité de grève formé en octobre dernier. Par rapport à ceux-ci, le changement est tel qu’ils réclament également l’abrogation de la loi de l’été dernier limitant le droit de grève des enseignants. Celle-ci stipule que les enseignants doivent conserver au moins 50 % des cours même en cas de grève.
Les revendications initiales comprennent, entre autres, le rattachement du salaire de l’enseignant au salaire minimum et l’augmentation du salaire des employés non enseignants, ainsi que le fait que les heures de travail des personnes employées dans le rôle d’enseignant ne doivent pas dépasser 22 heures , et que les assistants pédagogiques et pédagogiques spéciaux doivent travailler 40 heures par semaine au lieu de ne pouvoir être affectés qu’à 35 heures par semaine, ils peuvent consacrer cinq heures par semaine à la préparation. Parmi ceux-ci, avertit la Voix hongroise , seul ce dernier a été inclus dans le projet de nouvelle loi sur le statut juridique des enseignants.
Après la grève d’avertissement de deux heures en janvier de cette année, organisée par le PDSZ, les travailleurs de la formation professionnelle sont également en grève jeudi et vendredi - la formation professionnelle ne faisant pas partie de l’enseignement public, la loi limitant les grèves ne s’applique pas non plus à eux.
Les enseignants du lycée Árpád Tóth de Debrecen ont également protesté, a écrit Debreciner . Et à Szeged, STEP - Szeged Teachers’ Cooperation Platform a organisé une manifestation parallèlement à la conférence .
(Voix Hongroise, Parole Folklorique, Standard)
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Photo de couverture : Le Budapest XIII. Les enseignants en grève de l’école élémentaire Tomori Pál le 8 décembre 2022. Photo : Des professeurs pour des professeurs / Facebook
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