Un numéro de la revue Silence à ne pas manquer, travail…autogestion pratique et plus.
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Un numéro de la revue Silence à ne pas manquer, travail…autogestion pratique et plus.
OVMQC
Source : La revue Silence
REPAS, pratiquer l’utopie au travail
Après des mois de mobilisation sur la question du travail avec la réforme des retraites, un sujet est resté sous silence : pour quoi travaillons-nous ?
Qu’est-ce que notre travail apporte au monde ? Depuis 25 ans, le Réseau d’échanges de pratiques alternatives et solidaires (REPAS) relie des structures qui permettent de répondre à nos besoins de subsistance ou de lutter pour notre émancipation.
Ces entreprises, associations ou coopératives expérimentent concrètement des manières de travailler autrement, en fonctionnant de manière autogérée et en mettant en place des pratiques vertueuses d’un point de vue social et écologique.
Sommaire
Éditorial
• Un festin d’alternatives
Dossier
• Ambiance Bois : Scions… travaillait autrement
• Essaimer des « pôles de résistance et d’espérance »
• Compagnonnage Repas : une formation autant qu’un « déformatage »
• La Frênaie : camper en yourte, l’acheter ou la construire
• « Préparer, À Petits PAS, les solidarités de demain »
Chroniques
• 2004 La décroissance par la non-violence
• Coller la nuit pour que la révolution voie le jour
• « Ce n’est pas une sécheresse, c’est un pillage ! »
• Si le rail ne vient pas à Quimperlé, c’est Quimperlé qui viendra sur les rails
• Projets autoroutiers : des plumes et du goudron…
Articles
• Quand urgence climatique devient synonyme de violence de classe
• Le Tour de France des ringards
• Europe-Brésil : combattre la « déforestation importée »
• Terres de Luttes, un réseau d’entraide entre luttes locales
4e de couverture
• L’Univers d’un Poète Ferrailleur
Livres
• Pour une écologie pirate de Fatima Ouassak
Navigation de l’article
Mouton Noir – n°8
Le Postillon – n°69
By Jocelyn Peyret
Ambiance Bois : Scions… travaillait autrement
Michel Bernard
Au début des années 80, un groupe d’étudiant·es parisienn·es décide de s’installer à Faux-la-Montagne, un village de la Creuse, sur le plateau de Millevaches. Il y crée Ambiance Bois. Près de 40 ans plus tard, l’heure est à la transmission alors que l’entreprise compte une bonne vingtaine de salarié·es.
Au début des années 80, un groupe d’étudiant·es parisienn·es décide de s’installer à Faux-la-Montagne, un village de la Creuse, sur le plateau de Millevaches. Il y crée Ambiance Bois. Près de 40 ans plus tard, l’heure est à la transmission alors que l’entreprise compte une bonne vingtaine de salarié·es.
Trois vidéos pour débattre et créer des alternatives concrètes
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